Ces quelques années passées au service de ceux dont l'ordi posait problème m'ont permis de recenser, comme tant d'autres l'ont fait avant moi, "des "erreurs" de la technologie, de sinistres machins (car tous ne sont pas des machines -> hardware) qui n'auraient jamais du sortir des bureaux d'études qui les ont engendré. Florilège...
Diam's pourrait en être jalouse, mais elle ne devrait pas. Beaucoup trop gourmand en ressources processeur et mémoire vive pour l'époque, le système d'exploitation Windows Vista fut un megaflop. C'est pourtant ce système qui a inauguré la série 6.x des Microsoft Windows (XP était basé sur le Kernel (coeur du système) 5.1, Vista est passé en 6.0, Seven sur le 6.1, Windows 8 sur le 6.2, W8.1 sur le 6.3, etc...), mais de la mauvaise manière. Microsoft a laissé croire aux utilisateurs de Windows XP qu'ils pourraient mettre à jour leurs machines devenant anémiques vers Vista, et à sous évalué volontairement la gourmandise de son système pour mieux le vendre à ses partenaires OEM. La vérité s'est révélée à l'usage, et Microsoft a du rectifier le tir rapidement avec une version rustinée et allégée de Windows Vista : le bien connu et apprécié Windows 7, digne successeur de Windows XP.
Si vous disposez de Microsoft Vista et que votre machine tourne correctement avec, alors rien ne sert de courir... En revanche, si tel n'est pas le cas, songez à mettre à jour vers Windows 7 ou 8.1. A eux seuls, les PC sous Vista ne représentent que 5% du marché, mais 9% de mon activité en valeur, 10% en volume, et 11% de mon temps de travail car tout est si lent avec Microsoft Vista... Les chiffres sont éloquents.
Microsoft nous a fait un second gros délire lors de la sortie de Windows 8 en 2012. La compagnie a en effet décrété que une interface tactile c'était mieux pour tout le monde, y compris pour les 95% d'utilisateurs qui ne disposaient pas du tactile. Et donc le menu démarrer a été supprimé. De mauvais chiffres de vente et une longue fronde des utilisateurs ont ramené Microsoft à de meilleurs sentiments, et le menu reviendra donc... en 2015, avec Windows 10 (et pas 9 car cela créerait beaucoup d'incompatibilité avec les programmes qui vérifie si ils s'exécutent ou non sous... Windows 95 et Windows 98 !)
Si vous disposez de ce système, pas de panique ! Des développeurs moins fiers et plus rapides que ne l'est Microsoft ont rapidement proposé des menus démarrer alternatifs, qui reproduisent presque à l'identique le menu démarrer de Windows 7 !
Ahhh... Merveilles des merveilles. Je vois souvent passer cette marque, avec en tête les pannes de disque dur montés dessus. Si Packard-Bell avait un monopole sur les ventes d'ordinateurs, je serais un homme riche. Leur prix est souvent très avantageux, mais leur design plastoc fait tâche, (le groupe Acer, réputé bas de gamme, a racheté Packard-Bell, et s'est adjugé le segment "haut de gamme", c'est dire !!!), et leur fiabilité de long terme pose question. De mêmes que les licenses Windows posées dessus, dont les codes passent à la réinstallation, mais pas toujours à la validation online de Microsoft, obligeant à appeler le service d'activation des licenses Microsoft...
...font de ces ordinateurs de vraies souffleries. Errements incompréhensibles des ingénieurs HP, ou diktat de commerciaux ignares, je n'en sais rien. En revanche, les problèmes sont bien identifiés : sous dimensionnement du ventilateur processeur, souvent trop éloigné du bord du chassis au vu de la chaleur à dissiper, bouchons de poussière dans le radiateur grille séparant l'intérieur et l'extérieur du chassis, ces ordinateurs HP sont à déconseiller sur le long terme. En plus, que de programmes inutiles installés de base ! On en viendrait presque à regretter Compaq, que HP a racheté il y'a déjà bien longtemps avant de doucement sombrer dans les restructurations... On se demande pourquoi. Cela dit, leur gamme professionnelle est, elle, très bonne.
Pour des factures impayées, et même impayées CAR contestées (sur des motifs justifiables en droit contractuel, ou au moins en terme de publicité mensongère non exécutée), les opérateurs de téléphonie et les fournisseurs d'accès internet n'hésitent pas à faire appel à des sociétés dites de recouvrement amiable utilisant le harcèlement téléphonique, et les services d'huissiers de justice agissant à titre privé et onéreux pour contraindre par la peur leurs abonnés à payer sans discuter, ce bien entendu sans qu'une injonction de payer n'ait été délivrée par un juge. Ces méthodes scandaleuses feront ultérieurement l'objet d'un long article sur InfoFix.fr.
Face à ces aigrefins, la meilleure politique est celle de l'autruche : ne rien accepter, ne rien reconnaître devoir (même pour une dette dont une partie est réelle), et systématiquement demander un interlocuteur de l'opérateur Telecom pour simplement accepter d'évoquer le sujet, chose qui vous sera bien entendu refusée... En attendant que file le délais de prescription d'un an (en matière de factures télécoms impayées) ou qu'arrive une ordonnance du juge en injonction de payer, que vous pourrez contester à loisir si vous êtes dans votre bon droit.